Les risques

A faire l’amour trop fort, il y a des risques sur le plan physique. Par exemple, cela peut entraîner la fracture du pénis, la rupture du frein pour l’homme. Cela peut causer une sensation de brûlure et des irritations pour la femme au niveau de la vulve. Elle peut ressentir une gêne, une sécheresse ou de l’inconfort dans ses parties génitales. Les irritations ne sont pas forcément graves mais elles peuvent être le symptôme d’une vaginite, voire d’une IST. Des rapports trop intenses peuvent aussi entraîner des mycoses et la cystite. Dans tous ces cas, si les troubles et les gênes ne passent pas après quelques jours, il faut consulter un gynécologue ou son médecin traitant.

La sécheresse

L’un des risques des rapports sexuels trop intenses, c’est la déchirure vaginale. Cela arrive lorsque les frottements sur les muqueuses sont trop fortes, la lubrification vient à manquer, ce qui entraîne la sécheresse. La sécheresse à son tour va provoquer des fissures ou des irritations. Une pénétration trop brutale peut aussi être à l’origine d’une déchirure si le périnée n’est pas suffisamment contracte ou relâché. Pour lutter contre la sécheresse, il faut avoir une hygiène intime impeccable, bannir les douches vaginales connues pour provoquer la sécheresse à ce niveau, prolonger les préliminaires et éventuellement utiliser des préservatifs lubrifiés. Un lubrifiant naturel pourra aussi être d’une grande aide. Si le vagin est irrité très ou rouge après un rapport très intense, le mieux sera de consulter au plus vite un gynécologue.

Baisse de libido, quelles sont ses causes ?

Que ce soit chez l’homme ou chez la femme, l’âge est un facteur de baisse du désir. Sinon, les causes peuvent être médicamenteuses. Certains médicaments entraînent une diminution de l’envie chez certaines personnes. Les antidépresseurs sont les premiers sur la liste. De même que la fatigue ou le stress. Cela est paradoxal quand on sait que le sexe réduit le stress, ainsi que toute émotion négative, grâce à la sécrétion des hormones du bonheur. Enfin, les facteurs relationnels ne sont pas négligeables. Un couple qui a des difficultés à communiquer, ou un couple qui a une relation conflictuelle verra logiquement sa libido baisser. Autant de facteurs qui n’ont parfois rien à voir avec l’amour que se portent les partenaires.

Baisse de libido, comment la traiter ?

Parfois, pour les plus chanceux, il suffit de dénouer le problème du couple pour résoudre le problème de la baisse de l’envie. Par exemple, le couple a besoin de se retrouver en dehors de l’écrasante routine du quotidien. Ou bien, juste de changer de cadre. Il arrive que la vie sexuelle avait besoin d’être pimentée. Dans d’autres cas, il faut supprimer ou remplacer la cause, notamment si elle est médicamenteuse. Sinon, dans les cas où la baisse de forme est due à une cause plus profonde, la thérapie devient nécessaire. Il faut que le ou la patiente arrive à exprimer la cause du blocage. Surtout si la baisse arrive de manière inopinée. En effet, certaines femmes ont toujours eu une libido peu élevée. Mais un changement dans le comportement sexuel a forcément une cause, que ce soit dans le présent ou dans le passé. Et elle doit être éradiquée définitivement pour ne pas entacher l’avenir.

Panne de désir : les différentes causes

La panne de désir peut être causée par un dérèglement hormonal comme la grossesse, la ménopause ou l’allaitement ; d’une maladie comme les cirrhoses ; les médicaments comme les anovulants et les antidépresseurs. Ces causes physiologiques peuvent facilement être éradiquées par votre médecin. Les causes psychologiques sont plus complexes comme la fatigue avec la frénésie de la vie actuelle, l’anxiété due au stress qui engendre des problèmes de sommeil, les inquiétudes concernant ses performances sexuelles. Mais les plus difficiles à résoudre sont les causes relationnelles. Problème d’harmonie, de fidélité, de communication… peuvent tous être à l’origine d’une panne de désir. Prenons quelques exemples. Une femme qui nourrit du ressentiment envers son partenaire n’aura plus envie de partager des moments intimes avec lui. Des couples qui ont peur de communiquer sur leurs insatisfactions, leurs attentes par gêne ou par peur de la réaction de l’un envers l’autre ont du mal à partager des moments intimes. Enfin, une attente trop importante, l’envie de revivre les débuts torrides de leur vie sexuelle peut anéantir le désir puisqu’il arrive que la magie puisse s’essouffler un peu au cours d’une relation.

Panne de désir : les solutions

Il faut renouer la complicité et l’attirance entre les deux partenaires. Il faut se retrouver en sortant en amoureux de temps en temps. Il faut changer la routine en donnant plus d’attentions, de mots tendres à votre partenaire. Une femme a besoin qu’on l’écoute, qu’on la considère, qu’on la touche… Discutez ensemble de ce qui ne va pas pour trouver la solution ensemble. Chassez de votre esprit toutes idées reçues ou tout ressentiment envers votre partenaire et apprenez à vous adonner à de nouveaux jeux amoureux, de nouvelles positions, etc. Enfin, relaxez-vous de temps en temps en reprenant votre loisir favori.

Le moment de la découverte

Pour s’assurer que votre partenaire puisse parfaitement être comblé dans vos ébats sexuels, il est primordial que vous compreniez ce qu’elle attend de vous. Il n’est pas question de lui demander directement la position qu’elle souhaite mais demandez-lui plutôt ce qui la rendre heureuse dans le sexe. C’est en avançant dans la discussion qu’elle s’ouvrira à vous sans pudeur ni réticence.

Les préliminaires

Les préliminaires sont des étapes importantes pour faire monter l’appétit sexuel entre vous. Ne vous précipitez pas à aller directement entre ses cuisses. Faites durer son désir en lui effectuant des caresses douces et enivrantes sur tout son corps. Accompagnez vos caresses par des petits baisers qui lui permettront de sentir l’air chaud qui sort de votre bouche. C’est lorsque vous constatez qu’elle vraiment acquise que vous lui ferez un petit doigté dans le vagin pour poursuivre par un petit cunnilingus.

La pénétration

Même si votre désir vous incite à la pénétrer le plus vite possible, laissez-la prendre la décision. Certaine femme ne supporte pas trop longtemps le cunni, alors elle implore une pénétration immédiate. D’autres se laissent transporter par le mouvement de votre langue et vous donne les rênes. Quand vient le moment de la pénétrer, sachez si votre partenaire souhaite faire l’amour ou elle a envie d’une baise c’est-à-dire faire l’amour de manière plus sauvage. Quelque soit son choix, il faut que vous sachiez jouer avec vos va-et-vient et au fil de vos ébats augmenter votre rythme.

Les préparations à faire

Ce n’est pas évident de faire l’amour à distance, par téléphone. Mais puisqu’il faut toujours maintenir une certaine intimité dans le couple, il faut oser ! L’amour au téléphone peut être tout aussi excitant et gratifiant que le vrai sexe. Il faut d’abord vous préparer mutuellement et commencer par fixer les limites. Les attentes, les fantasmes et les manières de s’exprimer de chacun ne sont pas toujours les mêmes. Ensuite, il faut planifier un rendez-vous amoureux, un moment où vous pouvez être seuls sans vous faire déranger. Faites-vous coquine et sexy et mettez de l’ambiance dans la pièce avec une musique légère, une lumière tamisée et des bougies. Une fois que l’ambiance est bien romantique, vous pouvez entrer dans le cœur de l’action.

Mettez-vous maintenant dans l’action

Faire l’amour par téléphone est une expérience que n’avez pas encore testé ? Essayez maintenant, car le téléphone rose n’est pas seulement fait pour les célibataires. Testez et vous verrez que cela permet de mettre du piquant dans votre vie de couple. Vous verrez aussi que l’éloignement est supportable et le jour où vous vous retrouverez enfin réuni avec votre partenaire ne sera pas si lent lorsque vous pimentez votre relation avec des petits textos et appels coquins.
Pour vous mettre en action, commencez par vous envoyer des textos et des photos sexy. Il faut faire des échanges, chacun doit prendre part à la situation en décrivant mot par mot tout ce qu’il souhaite faire et en écoutant la réplique de l’autre. Le but est de décrire les moindres sensations et gestes pour enflammer les pensées de l’autre et vice versa. Vous devez ensuite vous toucher pour assouvir vos besoins physiques. Il faut continuer à décrire chaque action l’un à l’autre pour faire monter l’excitation et atteindre l’orgasme ensemble. Cette expérience peut être embarrassante la première fois. N’hésitez pas à renouveler votre exploit. Ce n’est qu’avec l’expérience que vous pouvez développer votre dirty talk ou le discours sexuellement explicite

Les moyens psychologiques

L’éjaculation est en fait contrôlée par le muscle pelvien que l’on appelle muscle pub coccygien ou PC. Ce muscle s’étend de la base du pénis à la base de la colonne vertébrale. Par manque d’exercice, ce muscle s’affaiblit et provoque des dysfonctions sexuelles, dont l’éjaculation précoce. Pour traiter ce problème, il faut alors exercer le muscle PC. La première chose à faire est de contracter régulièrement, progressivement et par série ce muscle. Il suffit de retenir et relâcher comme pendant la miction. Vous pouvez commencer par un exercice libre, puis pendant une masturbation et enfin lors d’un rapport sexuel. Un muscle PC bien exercé permet non seulement de contrôler l’excitation et donc de retarder l’éjaculation, mais également d’avoir une érection plus puissante et une sensation de plaisir amplifiée.

Les moyens médicaux

Des médicaments ont été conçus pour traiter la dysfonction sexuelle. Ils ont pour fonction de ralentir le réflexe éjaculatoire. Les médicaments les plus utilisés sont à base de dapoxetine, ayant comme fonction de ralentir l’éjaculation. Ce sont des médicaments dopants à prendre une à trois heures après la prise. Il y a également un traitement local comme l’application d’un anesthésique, généralement à base de lidocaïne, sur le gland. Ce sont des médicaments insensibilisant pour le pénis à appliquer 20 minutes avant le rapport sexuel. Toutefois, ce ne sont que des solutions d’urgence puisque ces médicaments ne traitent pas l’éjaculation précoce, mais les masquent seulement. L’effet est à court terme.

La baisse du désir sexuel

Il s’agit avant tout d’un problème d’ordre psychologique. Une femme, traversant le passage de maîtresse à la mère, change naturellement de priorité. En entrant dans le rôle de mère, la femme vit une longue période transitoire afin de redevenir la maîtresse d’avant ou de concilier à la fois le rôle de mère et de maîtresse. Pendant cette période, le désir sexuel de la mère diminue de façon considérable. Cette période peut durer entre 6 à 12 mois. Les hommes ne doivent en aucun cas considérer ce manque d’envie sexuelle passagère comme étant un signe de désamour.

La baisse du plaisir sexuel

Une femme, après l’accouchement peut avoir du désir, mais sans ressentir du plaisir sexuel. Il s’agit dans ce cas d’un problème d’ordre physiologique. Ce problème peut avoir de nombreuses causes, ayant comme point commun le passage de l’enfant durant l’accouchement. Cette phase d’expulsion peut entraîner la rupture de la sangle pubo-rectale du plancher pelvien. Ces lésions peuvent altérer la sensation de plaisir. Ensuite, elle peut engendrer l’étirement des nerfs honteux. Les muscles du périnée, devenant moins toniques, ne reçoivent plus la même sensation de plaisir. Elle peut également provoquer une béance vulvaire. La vulve ne saisit plus correctement le pénis lors de la pénétration. Enfin, elle entraîne une lésion de la paroi antérieure du vagin. La région du point G devient alors moins sensible ou voire même insensible. Par conséquent, les sensations érotiques sont diminuées ou éliminées. L’orgasme devient alors difficile à atteindre ou impossible chez certaines femmes.

Baisse de testostérone et baisse du désir

Plusieurs études cliniques ont montré que la baisse de la production de testostérone par les ovaires entraîne la diminution de la libido. En effet, ce taux de production peut diminuer suite à des traitements médicaux comme la chimiothérapie ou encore l’ablation des ovaires. Ainsi, de nombreux médecins prescrivent un traitement à base de testostérone chez les patientes qui souffrent de baisse de désir sexuel. Il s’agit entre autres de crème vaginale ou encore de patch à la testostérone.

Mieux comprendre le plaisir hormonal

La testostérone est alors à l’origine du désir sexuel, mais qu’en est-il du plaisir sexuel ? Une femme peut avoir un désir sans parvenir à ressentir le plaisir. Ce dernier est pour sa part piloté par les hormones féminines que sont la progestérone et l’œstrogène. La sensation d’orgasme est alors définie par la libération des hormones. En même temps, le cerveau est submergé par les endorphines qui sont à l’origine de la sensation d’euphorie.

La jouissance féminine et l’orgasme

L’excitation et l’orgasme féminin ne suivent pas une norme. Ils peuvent changer d’une femme à une autre, d’un moment à un autre, d’un partenaire à un autre. Plus clairement, une femme peut devenir multi-orgasmique ou encore anorgasmique rien qu’en changeant de partenaire. Pour les femmes, aucun orgasme n’est supérieur à un autre. Une femme peut atteindre le climax jusqu’à plusieurs dizaines de fois en une seule journée. Une femme peut avoir successivement plusieurs orgasmes lors d’un seul et même rapport sexuel. Tout dépend de son partenaire, si celui-ci est capable de susciter ces sensations en elle ou pas. À la différence des hommes, les femmes n’ont pas toujours besoin de ressentir l’orgasme pour être satisfaites.

Les différents orgasmes chez la femme

Sigmund Freud souligne qu’une femme ne devienne mûre que lorsqu’elle a déjà eu un orgasme vaginal. Les sexologues d’aujourd’hui affirment que le plaisir vaginal ou clitoridien n’a rien à voir avec l’âge et la maturité de la femme. L’orgasme clitoridien est obtenu à partir de la stimulation du clitoris. Celui-ci apparaît sous forme de bouton à l’extrémité postérieure des lèvres. Il est également associé à un autre point, au niveau de sa hauteur, dans le vagin. Il est facilement atteignable, se traduisant par une courte contraction telle des spasmes. L’orgasme vaginal est obtenu par stimulation du vagin et du fameux point G. Il est considéré comme étant plus long et plus diffus. Dans les deux cas, une femme peut toujours être multi-orgasmique. Enfin, l’orgasme féminin peut être accompagné d’une éjaculation. Il s’agit d’un liquide éjecté par l’urètre, d’une quantité parfois plus importante que celui des hommes.

La position du missionnaire

C’est la position la plus naturelle. Votre homme est allongé au-dessus de vous allongé sur le dos, les jambes bien écartées. Il prend appui sur jambes ou sur ses bras pour ne pas trop vous écraser. En réalité, c’est l’homme qui trouve plus plaisir avec cette position. En effet, c’est lui qui mène la danse. Il impose le rythme, l’intensité de la pénétration et même les temps de pauses. En revanche, le missionnaire favorise les étreintes. De plus, vous êtes face à face.

La levrette

C’est aussi un grand classique du kamasoutra. Vous êtes à genoux, à quatre pattes. Lui, il est derrière prenant appui sur votre hanche. Avec cette position, c’est l’extase assurée. En effet, la levrette permet de bien stimuler votre clitoris. Quant à votre partenaire, il pourra laisser libre cours à son imagination.

Le cavalier

Vous êtes allongé sur votre dos, une jambe repliée et l’autre tendus sur le lit. Lorsque votre partenaire s’approche de vous, vous pouvez monter vos fesses sur ses cuisses. Cela augmentera le plaisir et l’excitation puisque cela favorise une pénétration profonde. Votre homme prendra bien plaisir à titiller votre point G avec cette position.

L’andromaque

Votre partenaire est étendu sur le dos et vous êtes au-dessus, les jambes bien écartées. La position de l’andromaque est conseillée aux femmes qui sont à la recherche d’un orgasme vaginal intense. En fait, les hommes aiment bien aussi être dirigés. Et, avec cette position, c’est vous qui tenez les rênes. Les hommes aiment bien voir leur partenaire se faire plaisir. De plus, avec ses mains bien libres, votre homme pourra aisément vous caresser.